Conseil Municipal du 27 février 2025
L’an deux mil vingt-cinq, le vingt-sept février à dix-huit heures trente, le Conseil Municipal de la Commune de SAINT-AIGULIN dûment convoqué, s’est réuni en session ordinaire en Mairie sous la présidence de Mme Brigitte QUANTIN, Maire
Date de convocation du Conseil Municipal le 20 février 2025
Nombre de conseillers :
En exercice 19
Présents 15
Votants 18
Présents : M.M. QUANTIN, REIGNER, CELLIER, JULLIEN, POIRIER, PELET, LEGENDRE, ARNAULT, PERNA, METREAU, FRANCOUT, LAVIDALIE, GARD, MIEN, DUBREUILH
Excusés : M.M. BONNIN (Pouvoir donné à Yves REIGNER), DRIBAULT (Pouvoir donné à Brigitte QUANTIN), BENOTEAU (Pouvoir donné à Brigitte ARNAULT), TISSEUIL
Secrétaire de séance : Mme Vanessa METREAU
Ordre du Jour :
- Approbation du compte rendu du conseil municipal du 06 février 2025
- Finances : Approbation du compte financier unique 2024 du budget principal et des budgets annexes
- Finances : Affectation du résultat 2024 du budget principal et des budgets annexes
- Urbanisme : avis du Conseil Municipal sur le projet de Plan de Prévention des Risques d’Incendie de Forêt (PPRIF)
- Personnel Communal : participation à la consultation organisée par le Centre de Gestion pour l’assurance santé complémentaire obligatoire
- Personnel Communal : recrutement en CDD d’un agent administratif à la Maison France Services et Agence Postale
- Personnel Communal : recrutement en CDD d’un agent technique pour les services techniques
- Finances : admission de créances en non-valeur
- Domaine public : convention pour occupation du domaine public pour l’installation d’un camion pizza
- Questions diverses
Objet : Approbation du compte rendu du conseil municipal du 06 février 2025
APPROUVE A L’UNANIMITE.
Objet : Vote du compte financier unique du budget principal 2024
Madame le Maire se retire de la salle du Conseil pour le vote.
Le Conseil Municipal,
Après avoir entendu le rapport de Madame le Maire,
Vu le Code général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles L.2121-14, L.2121-21 et L.2121-29 relatifs à la désignation d’un président autre que le Maire pour présider au vote du compte administratif et aux modalités de scrutin pour les votes de délibération ;
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Considérant que Jacques JULLIEN a été désigné pour présider la séance lors de l’adoption du compte financier unique ;
Vu l’instruction budgétaire et comptable M57 applicable à la collectivité ;
Vu le compte financier unique 2024 du budget principal de la Commune ;
Après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Approuve le compte financier unique de l’exercice 2024 du budget principal, lequel peut se résumer de la manière suivante :
BUDGET PRINCIPAL | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 1 878 284,28 € | Recettes : 3 193 323,33 € |
Excédent de clôture : 1 315 039,05 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 2 091 129,52 € | Recettes : 1 514 621,30 € |
Déficit de clôture : – 576 508,22 € |
Arrête les résultats définitifs tels que résumés ci-dessus.
Objet : Vote du compte financier unique du budget Annexe les Barails d’Aigulin 2024
Madame le Maire se retire de la salle du Conseil pour le vote.
Le Conseil Municipal,
Après avoir entendu le rapport de Madame le Maire,
Vu le Code général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles L.2121-14, L.2121-21 et L.2121-29 relatifs à la désignation d’un président autre que le Maire pour présider au vote du compte administratif et aux modalités de scrutin pour les votes de délibération ;
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Considérant que Jacques JULLIEN a été désigné pour présider la séance lors de l’adoption du compte financier unique ;
Vu l’instruction budgétaire et comptable M57 applicable à la collectivité ;
Vu le compte financier unique 2024 du budget annexe les Barails d’Aigulin de la Commune ;
Après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Approuve le compte financier unique de l’exercice 2024 du budget annexe Les Barails d’Aigulin, lequel peut se résumer de la manière suivante :
BUDGET ANNEXE DES BARAILS d’AIGULIN | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 76 271,74 € | Recettes : 127 600,37 € |
Excédent de clôture : 51 328,63 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 48 779,79 € | Recettes : 39 474,40 € |
Déficit de clôture : – 9 305,39 € |
Arrête les résultats définitifs tels que résumés ci-dessus.
Objet : Vote du compte financier unique du budget Annexe Centre Bourg 2024
Madame le Maire se retire de la salle du Conseil pour le vote.
Le Conseil Municipal,
Après avoir entendu le rapport de Madame le Maire,
Vu le Code général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles L.2121-14, L.2121-21 et L.2121-29 relatifs à la désignation d’un président autre que le Maire pour présider au vote du compte administratif et aux modalités de scrutin pour les votes de délibération ;
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Considérant que Jacques JULLIEN a été désigné pour présider la séance lors de l’adoption du compte financier unique ;
Vu l’instruction budgétaire et comptable M57 applicable à la collectivité ;
Vu le compte financier unique 2024 du budget principal de la Commune ;
Après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Approuve le compte financier unique de l’exercice 2024 du budget annexe Centre Bourg, lequel peut se résumer de la manière suivante :
BUDGET ANNEXE CENTRE BOURG | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 38 054,33 € | Recettes : 57 230,43 € |
Excédent de clôture : 19 176,10 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 62 787,59 € | Recettes : 417 062,91 € |
Excédent de clôture : 354 275,32 € |
Arrête les résultats définitifs tels que résumés ci-dessus.
Objet : Vote du compte financier unique du budget Annexe Lotissement Les Grands Champs 2024
Madame le Maire se retire de la salle du Conseil pour le vote.
Le Conseil Municipal,
Après avoir entendu le rapport de Madame le Maire,
Vu le Code général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles L.2121-14, L.2121-21 et L.2121-29 relatifs à la désignation d’un président autre que le Maire pour présider au vote du compte administratif et aux modalités de scrutin pour les votes de délibération ;
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales ;
Considérant que Jacques JULLIEN a été désigné pour présider la séance lors de l’adoption du compte financier unique ;
Vu l’instruction budgétaire et comptable M57 applicable à la collectivité ;
Vu le compte financier unique 2024 du budget annexe lotissement les Grands Champs de la Commune ;
Après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Approuve le compte financier unique de l’exercice 2024 du budget annexe Lotissement Les Grands Champs, lequel peut se résumer de la manière suivante :
BUDGET ANNEXE LOTISSEMENT LES GRANDS CHAMPS | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 1 064 412,87 € | Recettes : 1 072 911,17 € |
Excédent de clôture : 8 498,30 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 1 623 031,27 € | Recettes : 985 308,79 € |
Déficit de clôture : – 629 224,18 € |
Arrête les résultats définitifs tels que résumés ci-dessus.
Objet : Finances : Affectation du résultat du budget principal et des budgets annexes
Madame le Maire présente les résultats du budget principal et des budgets annexes 2024 :
BUDGET PRINCIPAL | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 1 878 284,28 € | Recettes : 3 193 323,33 € |
Excédent de clôture : 1 315 039,05 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 2 091 129,52 € | Recettes : 1 514 621,30 € |
Déficit de clôture : – 576 508,22 € |
Affectation en fonctionnement : 738 530,83 €
Affectation en investissement : 576 508,22 €
BUDGET ANNEXE DES BARAILS d’AIGULIN | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 76 271,74 € | Recettes : 127 600,37 € |
Excédent de clôture : 51 328,63 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 48 779,79 € | Recettes : 39 474,40 € |
Déficit de clôture : – 9 305,39 € |
Affectation en fonctionnement : 42 023,24 €
Affectation en investissement : 9 305,39 €
BUDGET ANNEXE CENTRE BOURG | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 38 054,33 € | Recettes : 57 230,43 € |
Excédent de clôture : 19 176,10 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 62 787,59 € | Recettes : 417 062,91 € |
Excédent de clôture : 354 275,32 € |
Affectation en fonctionnement : 19 176,10 €
Affectation en investissement : 354 275,32 €
BUDGET ANNEXE LOTISSEMENT LES GRANDS CHAMPS | |
FONCTIONNEMENT | |
Dépenses : 1 064 412,87 € | Recettes : 1 072 911,17 € |
Excédent de clôture : 8 498,30 € | |
INVESTISSEMENT | |
Dépenses : 1 623 031,27 € | Recettes : 985 308,79 € |
Déficit de clôture : – 629 224,18 € |
Affectation en fonctionnement : 8 498,30 €
Madame le Maire demande au Conseil Municipal d’approuver ces affectations.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Approuve les affectations du résultat ci-dessous.
Objet : Avis du Conseil Municipal sur le projet de Plan de Prévention des Risques d’Incendie de Forêt (PPRIF)
Par arrêté préfectoral du 23 mars 2018, 9 communes du Sud Saintonge, situées dans le massif de la Double saintongeaise, un plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) a été prescrit par l’Etat.
Les études étant terminées, il convient d’assurer la consultation règlementaire telle que, définit par l’article R.526-7 du code de l’environnement.
Les conseils municipaux des communes concernées doivent émettre un avis sur le projet présenté.
Les projets seront ensuite soumis à enquête publique du lundi 7 avril 2025 au vendredi 9 mai 2025.
Les maires des communes concernées, exposent de manière collégiale, les réserves suivantes :
Considérant que le projet de PPRIF des communes de la Double Saintongeaise pose un principe général d’interdiction de reconstruction des biens qui seraient détruits par un incendie de forêt sur l’ensemble des zones qu’il règlemente, et ce quel que soit le niveau de risque (Zone Rouge ou Bleu, reconstruction totale ou partielle des bâtiments détruits par un sinistre ayant pour origine un incendie de forêt : interdite).
Si le PPRIF est approuvé en l’état, cette règle pose plusieurs problèmes qui la rendent inacceptable et inapplicable :
- Le nombre de bâtiments concerné par commune est très important
- L’indemnisation potentielle par l’assureur du propriétaire ne tiendra pas compte de la valeur totale bien immobilier et terrain avant le sinistre. L’indemnisation ne sera, dans le meilleur des cas et si les propriétaires parviennent à être assurés, que le bien sinistré. Le terrain post sinistre n’aura plus aucune valeur et le propriétaire ne pourra ni en tirer un revenu, ni l’utiliser pour reconstruire.
- Cette règle conduit à des contradictions : sur deux parcelles contiguës en zone bleue : une habitation existante détruite ne pourrait pas être reconstruite alors qu’une nouvelle habitation pourra l’être (règle 6 du règlement) ;
- Cette règle est contraire à l’instruction technique du ministère de l’écologie qui cadre l’élaboration des PPRIF (note technique du 29 juillet 2015), qui précise sur ce point les éléments ci-dessous :
Les services de la DDTM17 vont donc plus loin que ce que le ministère de l’écologie fixe comme doctrine pour l’élaboration des PPRIF. Le ministère écrit « Elle constitue cependant une restriction forte au droit de propriété et génère des difficultés d’application importantes ». Les élus locaux, donc de proximité que nous sommes, s’opposent à supporter l’application de cette prescription.
Considérant que le projet de règlement du PPRIF des communes de la Double Saintongeaise suggère trois zones, fonction de l’aléa d’origine, du type de zone (naturelle, urbaine ou sous projet d’urbanisation) et de la notion de défendabilité tel que prescrit dans la note technique du 29 juillet 2015.
Il apparaît que cette notion de bonne défendabilité selon plusieurs critères retenues (capacité des hydrants, largeur des voies, distance des projets aux hydrants, distance du projet à une voie accessible, mise à distance des constructions par rapport à la végétation, entretien de la végétation) est très restrictive sans distinction de zonage B et B1.
La notion du niveau de l’aléa d’origine semble écarté.
Or selon le chapitre 5,2 “Le zonage réglementaire” de la note technique du 29 juillet 2015 il est observé une différenciation d’obligation (devra être défendable) ou de prescription entre une zone d’origine d’aléa moyen et une zone d’origine d’aléa faible tel que mentionné ci-dessous :
Zone d’aléa moyen :
– les espaces urbanisés défendables seront constructibles tout en étant soumis à des prescriptions adaptées, à la densité du bâti et à sa position par rapport au milieu naturel,
– les espaces urbanisés non défendables seront inconstructibles. Ce principe peut être assoupli en définissant des zones de constructibilité conditionnelle, lorsque des travaux conduisant à rendre ces secteurs défendables, peuvent être menés dans des conditions techniques, économiques et environnementales acceptables. Après la réalisation des travaux et après une révision partielle ou totale du PPRIF, des constructions pourront être admises tout en étant soumises à des prescriptions strictes en matière de dispositions constructives, mais aussi sur l’aménagement et l’entretien des espaces végétalisés mitoyens et sur le stockage des combustibles.
Les secteurs correspondants seront identifiés spécifiquement dans le zonage réglementaire.
– Les espaces actuellement non urbanisés avec enjeux inscrits dans les documents d’urbanisme seront constructibles avec des prescriptions adaptées. L’urbanisation nouvelle devra être défendable.
– les espaces non urbanisés et sans enjeux d’urbanisme futur seront inconstructibles.
Zone d’aléa faible : Le principe général est la constructibilité soumise à des prescriptions.
Zone d’aléa très faible à nul Le principe est l’absence de réglementation spécifique.
Les services de la DDTM 17 vont donc plus loin que ce que le ministère de l’écologie fixe comme doctrine pour l’élaboration des PPRIF par un principe de généralisation de la notion de réduction de défendabilité tel que retenu dans le règlement sans prendre en compte l’aléa d’origine en zone bleue, pénalisant fortement tout projet d’urbanisme sur une grande partie du territoire.
Plus précisément la simple notion de respect de largeur de voirie est tout simplement irréalisable en termes de moyens techniques et financiers. De facto, au-delà de tout nouveau projet ou nouvelle construction, une telle application réglementaire prive une très grande partie des habitants de la commune de tout projet d’aménagement, d’entretien des bâtiments existants.
Pour rappel en comité de pilotage, tel que rappelé sur une synthèse des échanges du 21 06 2016 la DDTM rappelait que le PPRIF imposait des restrictions sur la constructibilité uniquement à partir de l’aléa moyen, si l’aléa est faible ou très faible il n’y aurait pas de restriction.
Considérant les règles 26 (les plantations) et 27 (les tas de bois)
La plantation de nouvelles espèces très combustibles et très inflammables doit être évitée dans un rayon de 50m autour des bâtiments à compter de l’approbation du nouveau plan.
Tout stockage de bois sera implanté à une distance minimale de 10m des bâtiments.
Les services de la DDTM 17 prescrivent des règles qui ne sont pas applicables par des élus locaux et/ou dans des communes sans agents assermentés. Ces règles risquent cependant de modifier les garanties des assurances en cas de sinistre. Les élus se demandent donc la responsabilité de quelle partie serait engagée en cas de sinistre.
Considérant les mesures de prévention et de sauvegarde définies en application du II de l’article 562-1 du Code de l’environnement.
Le maire de chaque commune assurera l’information des populations au moins une fois tous les deux ans par des réunions publiques communales ou tout autre moyen approprié, sur les caractéristiques du ou des risques naturels, les mesures de prévention et de sauvegarde possibles, les dispositions du plan, les modalités d’alerte l’organisation des secours, les mesures prises par la commune pour gérer le risque ainsi que les garanties prévues à l’article L.125-1 du code des assurances ;
Le maire de chaque commune réalisera un DICRIM ;
Les communes informeront les propriétaires des obligations nouvelles résultant de l’application du PPRIF.
L’élaboration d’un plan communal de sauvegarde est obligatoire.
Les maires demandent un accompagnement spécifique de l’Etat et de ses services sur ces obligations qui vont impacter considérablement leurs niveaux de responsabilités, eu égard aux typologies de nos communes rurales, peu dotées en ingénierie.
Considérant les matériaux préconisés pour la construction ou la reconstruction de bâtiments, le Conseil Municipal s’interroge, car il est préconisé d’utiliser des matériaux tels que le plomb ou l’amiante, alors que ces matériaux sont à ce jour interdits d’utilisation.
De plus, dans leur globalité, les matériaux préconisés sont en grande majorité des matériaux très onéreux, limitant les possibilités de constructions, reconstructions ou réhabilitations pour les ménages modestes, majoritaires sur notre territoire.
Enfin, le Conseil Municipal s’interroge sur la différenciation entre la zone B et la zone B1, censées représenter deux zones d’aléas différentes. Or, à la lecture du règlement, aucune différence n’apparait entre ces deux zones, qui apparaissent soumises aux mêmes règles restrictives et à la même intensité.
En conséquence, le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité :
- Émet un avis défavorable au projet de plan de prévention des risques d’incendie de forêts tel que présenté.
- Admet que le PPRIF est une démarche utile pour mieux gérer le risque incendie sur le territoire, dont les élus partagent le principe mais ses mesures doivent être proportionnées à un juste équilibre entre prévention des risques et contraintes pour les territoires.
- Estime que les conséquences pour la commune en termes d’investissements d’aménagements et pour les habitants ne sont pas acceptables en l’état.
- Exprime de grandes inquiétudes, au regard des particularités des communes rurales, quant à l’impact sur leurs responsabilités civiles voire pénales pour la mise en œuvre et le suivi de ce PPRIF, associé aux OLD.
- Estime qu’il n’appartient pas à leurs mandats d’élus locaux de mettre en œuvre et suivre l’application de ce plan qui « génère des difficultés d’application importantes ».
Objet : centre de Gestion : consultation pour la protection sociale complémentaire risque santé
Vu le code général des collectivités territoriales,
Vu les articles L. 827-1 et suivants du code général de la fonction publique,
Vu le décret n° 2011-1474 du 8 novembre 2011 relatif à la participation des collectivités territoriales et de leurs établissements publics au financement de la protection sociale complémentaire de leurs agents et les quatre arrêtés d’application du 8 novembre 2011,
Vu le décret n° 2022-581 du 20 avril 2022 relatif aux garanties de protection sociale complémentaire et à la participation obligatoire des collectivités territoriales et de leurs établissements publics à leur financement,
Vu l’avis du comité social territorial du 11 février 2025,
Exposé :
Les employeurs publics territoriaux doivent contribuer au financement des garanties d’assurance de protection sociale complémentaire auxquelles les agents qu’ils emploient souscrivent pour couvrir :
- Le risque prévoyance : incapacité de travail, invalidité, inaptitude ou décès.
- Le risque santé : frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident,
Après la mise en place de cette participation obligatoire pour le risque prévoyance, celle-ci deviendra également effective au 1er janvier 2026 pour le risque santé, pour un montant minimal fixé actuellement à 15 euros brut par mois et par agent.
La participation peut être accordée dans le respect de la procédure :
- soit de labellisation. Dans ce cas, l’employeur verse une participation aux agents qui ont adhéré à l’un des produits labellisés, parmi ceux mentionnés sur la liste publiée sur le site internet du ministère chargé des collectivités territoriales,
- soit de convention de participation, associée à un contrat collectif d’assurance, conclue à l’issue d’une procédure d’appel à concurrence spécifique, avec un organisme d’assurance bénéficiant de la qualité de mutuelle ou d’union de mutuelles, d’institution de prévoyance ou de société d’assurance. Cette consultation est réalisée :
- soit par la collectivité,
- soit par le centre de gestion du ressort de la collectivité. Dans ce cas, la collectivité doit confier, préalablement à la consultation, un mandat au centre de gestion. A l’issue de la consultation, l’adhésion de la collectivité à la convention de participation proposée reste libre et donc sans obligation.
Après avoir entendu l’exposé, Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité :
- de retenir la procédure de convention de participation, avec son contrat d’assurance collective à adhésion facultative des agents, selon la procédure d’appel à concurrence organisée par le Centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Charente-Maritime,
- de donner, ainsi, mandat au Centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Charente-Maritime pour la réalisation d’une mise en concurrence visant à la sélection d’un ou plusieurs organismes d’assurance et la conclusion d’une convention de participation pour la couverture du risque santé au 1er janvier 2026.
- d’accorder une participation aux fonctionnaires et agents contractuels de droit public et de droit privé dans l’effectif qui adhèreront au contrat collectif d’assurance conclu à l’issue de la procédure d’appel à la concurrence, et de fixer le niveau de cette participation comme suit :
- Versement d’un montant unitaire mensuel brut de : 15 € par agent
La participation sera confirmée par délibération, à l’issue de la procédure de consultation.
- D’autoriser le Maire à effectuer tout acte relatif à ce dossier, et notamment à transmettre au Centre de gestion toutes les données statistiques nécessaires à la consultation.
Objet : Personnel communal : recrutement d’un agent Administratif en CDD pour les Besoins de la Maison France Services et l’Agence Postale Communale
Madame le Maire informe le Conseil Municipal que conformément à l’article L.313-1 du Code Général de la Fonction Publique, les emplois de chaque collectivité ou établissement sont créés par l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement.
Madame le Maire informe le Conseil Municipal de la nécessité de recruter un agent temporaire pour les besoins de la Maison France Services et l’Agence Postale Communale.
Madame le Maire propose de recruter un agent contractuel, sur la base d’un emploi non permanent pour un accroissement d’activité à temps complet à raison de 35 heures hebdomadaires dans les conditions prévues à l’article L.332-23,1° du Code Général de la Fonction Publique, à compter du 14 avril 2025, pour une période d’un an, soit jusqu’au 13 avril 2026, sur la base du grade d’adjoint administratif, indice majoré 366.
Madame le Maire propose au Conseil Municipal de bien vouloir se prononcer sur cette proposition.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, Décide :
Article 1 : De créer un emploi non permanent d’adjoint administratif pour un accroissement temporaire d’activité à temps complet à raison de 35 heures hebdomadaires, à compter du 14 avril 2025 pour une période d’un an, soit jusqu’au 13 avril 2026, sur la base du grade d’Adjoint technique.
Article 2 : Que la rémunération est fixée sur la base de la grille indiciaire relevant du grade d’adjoint technique, Indice majoré 366.
Article 3 : Les dispositions de la présente délibération prendront effet au 14 avril 2025.
Article 4 : Les dépenses correspondantes seront imputées sur les crédits prévus à cet effet au budget
Objet : Personnel communal : recrutement d’un agent CDD pour les services techniques
Madame le Maire informe le Conseil Municipal que conformément à l’article L.313-1 du Code Général de la Fonction Publique, les emplois de chaque collectivité ou établissement sont créés par l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement.
Madame le Maire informe le Conseil Municipal de la nécessité de recruter un agent temporaire pour renforcer les services techniques.
Madame le Maire propose de recruter un agent contractuel, sur la base d’un emploi non permanent pour un accroissement d’activité à temps complet à raison de 35 heures hebdomadaires dans les conditions prévues à l’article L.332-23,1° du Code Général de la Fonction Publique, à compter du 1ier mai 2025, pour une période d’un an, soit jusqu’au 30 avril 2026, sur la base du grade d’adjoint technique, échelon 1, indice majoré 366.
Madame le Maire propose au Conseil Municipal de bien vouloir se prononcer sur cette proposition.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité, Décide :
Article 1 : De créer un emploi non permanent d’adjoint technique pour un accroissement temporaire d’activité à temps complet à raison de 35 heures hebdomadaires, à compter du 1ier mai 2025 pour une période d’un an, soit jusqu’au 30 avril 2026, sur la base du grade d’Adjoint technique.
Article 2 : Que la rémunération est fixée sur la base de la grille indiciaire relevant du grade d’adjoint technique, Indice majoré 366.
Article 3 : Les dispositions de la présente délibération prendront effet au 1ier mai 2025.
Article 4 : Les dépenses correspondantes seront imputées sur les crédits prévus à cet effet au budget
Objet : Admission en non-valeur de produits irrécouvrables
Madame le Maire expose au Conseil Municipal la demande du comptable de la collectivité pour l’admission en non-valeur de produits irrécouvrables.
Vu l’état et les avis d’autre part, il est demandé au conseil municipal d’accorder décharge au comptable des sommes détaillées dans l’état numéroté 6599300131, pour un montant total de 52,75 €.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité :
Accorde décharge au comptable des sommes détaillées dans l’état numéroté 6599300131, pour un montant total de 52,75 €.
Mandate Madame le Maire à l’effet de mettre en œuvre cette décision.
Objet : Convention d’occupation du domaine public pour l’installation d’un foodtruck
Madame le Maire informe le Conseil Municipal de la demande de M. SELAMA, qui souhaite installer son foodtruck « pizza » sur la Place de la Victoire, tous les lundis, midi et soir.
Elle demande aux membres du Conseil de se prononcer sur cette demande.
Également, elle propose, en cas d’accord, de fixer le montant de la redevance d’occupation du domaine public pour cette installation à 20 € par jour de présence.
Elle demande aux membres du Conseil Municipal de se prononcer sur cette proposition.
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, à l’unanimité :
- Autorise l’installation d’un foodtruck « pizza » sur la Place de la Victoire, tous les lundis, midi et soir
- Dit que cette occupation fera l’objet du versement d’une redevance fixée à 20 € (vingt euros) par jour de présence
- Autorise Madame le Maire à signer la convention d’occupation correspondante
- Mandate Madame le Maire à l’effet de mettre en œuvre cette décision.